Toulouse le 9 octobre 2024
Objet : recrutement d’un enseignant suite à un poste vacant depuis 1 mois et pour plusieurs mois à venir à l’école élémentaire des Gais Pinsons de la ville de Toulouse.
Monsieur le recteur,
Je sais que vous êtes au courant de cette situation terrible vécue par les enfants et les parents d’élèves de l’école des Gais Pinsons ainsi que par la communauté éducative suite à l’absence depuis le 13 septembre de l’enseignante d’une classe de CM1/CM2.
Cette absence depuis presque un mois pose de lourdes difficultés aux enfants, aux familles et à l’ensemble des salariés de cette école. Comme élu municipal et régional je connais les difficultés, en cette rentrée 2024/2025, notamment de manque d’enseignant et moi-même comme les groupes communistes de Toulouse Métropole, du département, de la Région sont depuis la fin aout aux cotés des maires , des élus, des parents ou enseignants qui ont dénoncé ces manques.
Je souhaite que nous avancions sur tous les dossiers de notre département et particulièrement de la ville de Toulouse mais je vous alerte vraiment aujourd’hui sur la situation terrible de l’école des Gais Pinsons comme sur celle voisine de la Cartoucherie.
Présent ce matin avec les parents d’élèves mobilisés je me suis engagé à ce que vous puissiez les recevoir au plus vite pour que la situation soit réglée dans les jours qui viennent et avant les vacances.
Je serais moi-même mercredi prochain présent au rassemblement au rectorat à l’appel de la FCPE et je vous sollicite pour une rencontre en amont ou tout de suite après ce rassemblement pour que vous me donniez les éléments de résolution de cette situation qui ne peut plus durer.
Je sais pouvoir compter sur vous pour que soit pris en compte le vécu des enfants, des parents et de la communauté éducative de l’école des Gais Pinsons de Toulouse où la solution doit être immédiate.
Bien sur j’espère qu’à la Cartoucherie comme sur l’ensemble des écoles en difficulté vous trouviez les solutions.
Veuillez, Monsieur le recteur, recevoir mes salutations les plus respectueuses.
Cordialement,
Pierre Lacaze